Quatrième de couverture :
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Mon avis :
Pour être tout à fait honnête, c’est avant tout la première de couverture qui m’a attirée, avec les couleurs dans les cheveux du personnage, les couleurs dans son bubble tea… J’ai trouvé ça beau, ça m’a plu, j’ai envie de découvrir ce manga. Puis, sur la quatrième de couverture, j’ai lu les mots-clés « romance », « bienveillance » et « carrière » (c’est quelque chose que les éditions Akata font sur leurs titres et je trouve ça super pour avoir un rapide aperçu du manga) et j’étais convaincue : je lirai ce titre.
Avant de parler de Mon petit ami genderless, il me semble important de revenir sur le terme de genderless qui ne vous parle pas forcément. De ce que j’ai trouvé sur le net, ça vient essentiellement du Japon et ce sont des personnes qui adoptent un look dit unisexe, que ce soit en terme de maquillage, de vêtements, d’accessoires. J’ai pensé à androgyne mais il semble que ce soit encore bien différent. Quoiqu’il en soit, on peut parler de personne genderless, d’homme genderless, de femme genderless… Ainsi, dans ce manga de Tamekou, Meguru est un jeune homme genderless.
Mon petit ami genderless raconte l’histoire du couple que Meguru forme avec Wako. Si cette dernière travaille d’arrache-pied dans une maison d’édition, ne comptant pas ses heures, Meguru est quant à lui employé dans une boutique de vêtements très tendances, mais il est aussi et surtout une star des réseaux sociaux ; son look super stylé et ses maquillages font sa renommée.
J’ai beaucoup aimé ce premier tome, notamment parce que la relation entre Wako et Meg est pleine d’amour et, en même temps, parce qu’on a une héroïne très vraie : elle a beau être carriériste, elle aime son petit-ami ; il est tellement beau qu’elle est parfois gênée de sortir avec lui, se sentant elle-même négligée ; etc. De son côté, Meg est adorable, attentionné… Le genre de compagnon idéal. D’ailleurs, l’amour que Wako porte à Meguru est réciproque et ce dernier aime Wako telle qu’elle est et il l’a soutient. Ce couple est très mignon, plutôt touchant, et doit parfois faire à des situations cocasses quand des collègues pensent que Wako est lesbienne, par exemple. Au final, la seule chose qui m’a laissée perplexe, c’est le début de la relation amoureuse entre Meg et Wako, lié à la passion de cette dernière. Ouf, ce n’est pas sur ça que le manga se concentre !
En dehors de cette histoire d’amour – qui dure depuis plusieurs années maintenant (c’est l’une des choses que j’apprécie avec ce manga, la relation est déjà en place) –, on suit également Wako au boulot et l’amitié entre Meguru et le mannequin star Kira. Ce dernier est un personnage très froid, peu intéressé par autrui. Pourtant, j’ai réussi à avoir une certaine forme de sympathie à son égard et je me demande comment il évoluera au fil du récit.
Mon petit ami genderless suit le quotidien d’un couple atypique pour autrui, mais superbement amoureux. C’est parfois drôle, souvent bienveillant, très chou. Un manga doudou qui promet de bons moments pour la suite 🥰
Mon petit ami genderless, Tamekou • Titre VO : Genderless danshi ni aisarete imasu • Traduction : Blanche Delaborde • Akata • 2022 (2018 VO) • 166 pages • 8,05€ • Genre : manga, romance, genderless • ISBN : 9782382122064
Oh, cette couverture ! Si je vois ce manga à la bibliothèque, je le prends, c’est sûr (en plus, puisque c’est Akata, je pense qu’elle l’aura)
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Akata se fait une place de choix dans mon cœur ! Je compte inciter ma librairie à commander plusieurs de leurs titres pour les avoir en rayon, hélas le rayon manga est tout petit ! Le seul point faible de cette librairie, ma foi. En tout cas, j’espère que tu tomberas sur ce manga tout doux et que tu aimeras toi aussi 😊
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Alors tu vois, je n’étais pas plus tentée que ça, et finalement tu me donnes envie de me lancer.
Et merci d’avoir explicité le terme genderless, je pensais bêtement que c’était plus pour qualifier une personne « sans genre ». Et une cliente de la librairie où je travaille pense sûrement comme moi parce que je l’ai entendu critiquer le titre en mode « ils ont rien compris, genderless mais dans le résumé ça dit homme genderless lolilol » (oui bon j’ai rajouté lolilol ^^’) Bref, du coup je comprends mieux ! et maintenant j’ai bien envie de le découvrir 🙂
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Ahah, je t’avoue que je ne comprenais pas trop non plus, je pensais moi aussi que c’était une forme de non-binarité, que ça désignait une personne agenre (« sans genre ») et j’ai donc mené l’enquête sur internet 😉
Contente que tu sois désormais motivée à le découvrir 😊
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Comme toi,je suis totalement sous le charme de cette couverture et de ses couleurs 😍 Et puis, le récit a l’air tellement doux et bienveillant, je sens le petit bonbon à savourer quoi !
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C’est exactement ça, un bonbon tout doux à savourer !
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faut que je le propose à mon fils, il aime quasiment tous les mangas xD
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Ah, un grand lecteur de manga ! Il y a tellement d’éclectisme, il ne peut qu’y trouver son bonheur ! J’espère que « Mon petit ami genderless » fera partie des manga qu’il apprécie 😉
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J’aime beaucoup, surtout le fait que la romance soit déjà installée 🙂 Et je me demande : il m’intéresserait pour ma bibliothèque, tu dirais qu’il est accessible à partir de quel âge ?
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Oh là là, je t’avoue que je suis un peu nulle pour les âges ! J’aurais dit lycée, peut-être même fin collège et, en vérifiant sur Nautiljon, je vois « nudité modérée » et « 14 ans et + », ça rejoint donc ce que je pensais. Le mieux serait que tu puisses lire le premier tome et juger par toi-même, tu sauras sûrement mieux que moi ! Dans ce cas, tu me diras ? 🙏 J’imagine, en plus, que ça peut dépendre des bibliothèques, de la ligne directrice adoptée.
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J’essaierai de le trouver pour jeter un oeil, mais c’est tellement dur de juger l’âge >< Surtout quand on voit que, dans les faits, ça dépend énormément d'un enfant à l'autre, d'un parent à l'autre,… Un vrai casse-tête XD
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