La boîte de petits pois

La boîte de petits pois

Quatrième de couverture :

Le Cheval d’Orgueil

Le Cheval d’Orgueil – Mémoires d’un Breton du pays bigouden

Quatrième de couverture :

« Trop pauvre que je suis pour posséder un autre animal, du moins le Cheval d’Orgueil aura-t-il toujours une stalle dans mon écurie. » Ainsi parlait à l’auteur, son petit-fils, l’humble paysan Alain Le Foff qui n’avait d’autre écurie que sa tête et d’autre terre que celle qu’il emportait malgré lui aux semelles de ses sabots de bois. « Quand on est pauvre, mon fils, il faut avoir de l’honneur. Les riches n’en ont pas besoin. » […]
L’auteur […] n’enseigne pas, il raconte minutieusement, paysannement, comment on vivant dans une « paroisse » bretonnante de l’extrême ouest armoricain au cours du premier demi-siècle. Il ne veut rien prouver, sinon que la véritable histoire des paysans reste à faire et qu’il est un peu tard pour l’entreprendre.
Il affirme tranquillement que ceux qui jugent les paysans comme des êtres grossiers sont eux-mêmes des esprits sommaires et naïfs. Il ajoute que les hommes ou les régimes qui ont suscité des révoltes de paysans ont faire entrer ces derniers en jacquerie à force de mépriser leur culture.
Alors le Cheval d’Orgueil a secoué furieusement sa crinière !
L’auteur n’est pas convaincu, en passant d’une civilisation à l’autre, d’avoir humaine gagné au change. Mais aujourd’hui, la grande question qui se pose est de savoir s’il existe encore des paysans, c’est-à-dire des hommes qui, avant d’être de leur temps, sont d’abord de quelques part où ils doivent se mettre à l’heure du temps qu’il fait.

Un sac

Un sac

Résumé de l’éditeur :

En pleine nuit, une femme attend face au Panthéon, seule, un petit sac dans ses bras frêles qu’elle serre comme un étau. Cette femme, Anna-Marie Caravelle, l’abominable, l’Affreuse Rouquine, la marginale.

Lorsque, vingt-quatre ans plus tôt, Monique Bonneuil décide de prendre en charge, en secret, à l’insu du reste du monde, l’éducation de la petite Anna-Marie, fille d’un suicidé et d’une folle à lire, elle n’imagine pas encore le monstre qu’elle abrite sous son toit et que, lentement, elle fabrique. La petite fille, poussée par ses démons, hantée par son histoire, incapable de distance, tue, un peu, beaucoup. Elle sacrifie, règle ses comptes, simplement.

Mais que fait-elle là, cette jeune femme agenouillée en plein Paris, au beau milieu de la nuit ? Et que contien ce mystérieux sac qui semble avoir tant d’importance ? Voici l’histoire d’Anna-Marie Caravelle.

Camille Claudel – Journal d’une apprentie sculptrice, 1877-1879

Camille Claudel, journal d’une apprentie sculptrice, 1877 – 1879

Quatrième de couverture :

Partagez le journal intime de Camille et découvrez sa vocation de sculptrice.

«En plus d’un corps disgracieux, j’ai un autre défaut qui met en rage notre mère: je suis fascinée par la sculpture, mais cet art est réservé aux hommes. Une jeune fille peut s’intéresser à la peinture ou au dessin de fleurs, de paysages, mais je ne suis pas habile avec un pinceau. Moi, ce que j’aime, c’est sentir la matière que je travaille dans mes mains, malaxer la glaise jusqu’à obtenir une silhouette. Un corps, un animal, des muscles dans l’effort…».

Punkette & Poupoune – Les samedis Z’électriques

Punkette & Poupoune – Les samedis z’électriques

Quatrième de couverture :

« Moi c’est Nola, bientôt 9 ans, surnommée « Punkette » parce qu’il paraît que j’écoute pas toujours et que j’aime l’ironie. Ma soeur Vinca, bientôt 7 ans, c’est « Poupoune » : elle est mignonne, elle a mauvais caractère, elle est drôle sans le faire exprès et elle parle à ses doudous. Toutes les deux, on s’entend bien, même si des fois on se discute. Des soeurs, quoi… Le samedi, Maman travaille et c’est Papa qui nous garde.. Pour nous, rien que de jouer dans notre chambre, ça prend des allures de quête. Alors quand en plus on utilise notre super-pouvoir, tout devient foufou… »

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Bienvenue à Perfect City

Bienvenue à Perfect City

Résumé de l’éditeur :

Et si les murs avaient des yeux ?

Qui voudrait vivre dans une ville où tout le monde porte des lunettes pour ne pas devenir aveugle ?
Personne, n’est-ce pas ?
Pourtant, Violet n’a pas le choix. Ses parents l’ont obligée à emménager à Perfect City, la ville où tout est parfait… sauf la vue de ses habitants !
Mais, très vite, la jeune fille se rend compte que les soucis ophtalmologiques ne sont pas les seuls problèmes à Perfect City. Et la vie n’y est pas aussi génial qu’on voudrait bien le faire croire…
[…]

Extra

Extra

Quatrième de couverture :

Élias a été désigné pour héberger un correspondant étranger pendant une semaine… sans se douter qu’il ne vient ni d’Allemagne ni d’Angleterre. Aytac vit sur Alter, une planète bien différente de la Terre ! L’extraterrestre a la peau bleue, il porte des cravates tous les jours et ne mange rien de ce que l’on peut trouver dans les assiettes de la cantine. Même si, au début, Élias est un peu inquiet, il est aussi impatient et curieux de faire sa connaissance.

Mais comment les autres élèves vont-ils accueillir ce drôle de correspondant venu d’ailleurs ? Lire la suite

L’Opoponax

L’Opoponax

Quatrième de couverture :

Mon Opoponax, c’est peut-être, c’est même à peu près sûrement le premier livre moderne qui ait été fait sur l’enfance. Mon Opoponax, c’est l’exécution capitale de quatre-vingt-dix pour cent des livres qui ont été faits sur l’enfance. C’est la fin d’une certaine littérature et j’en remercie le ciel. C’est un livre à la fois admirable et très important parce qu’il est régi par une règle de fer, jamais enfreinte ou presque jamais, celle de n’utiliser qu’un matériau descriptif pur. Ce dernier prend ici tout son sens. Il est celui-là même – mais porté au plain-chant par l’auteur – dont l’enfance se sert pour déblayer et dénombrer son univers. Ce qui revient à dire que mon Opoponax est un chef d’œuvre d’écriture parce qu’il est écrit dans la langue exacte de l’Opoponax.

Marguerite Duras
Extrait de la postface
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La place

La place

Quatrième de couverture :

Il n’est jamais entré dans un musée, il ne lisait que Paris-Normandie et se servait toujours de son Opinel pour manger. Ouvrier devenu petit commerçant, il espérait que sa fille, grâce aux études, serait mieux que lui.
Cette fille, Annie Ernaux, refuse l’oubli des origines. Elle retrace la vie et la mort de celui qui avait conquis sa petite « place au soleil ». Et dévoile aussi la distance, douloureuse, survenue entre elle, étudiante, et ce père aimé qui disait : « les livres, la musique, c’est bon pour toi. Moi, je n’en ai pas besoin pour vivre. »
Ce récit dépouillé possède une dimension universelle.
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Jardins sucrés

Jardins sucrés

Quatrième de couverture :

Pour Noël, Panda vient de recevoir une petite fille. Exactement ce qu’il voulait. Tiffany, elle, vient de recevoir un panda. Dommage. Elle aurait préféré avoir un super poney-licorne-pégase. Mais qui est le doudou de qui ? Pas le temps de démêler le vrai du faux, car un monstre terrifiant, fan de couture et de tricotage, met au désespoir son jeune propriétaire, tandis qu’un adolescent cherche à se débarrasser de sa peluche koala.
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