Mise à jour sur les challenges

Salutations, les lecturovores !
Afin de bien commencer cette nouvelle année, je me suis dit que ce serait pas mal de faire une mise au point sur mon avancée dans les challenges, et de faire les bilans de ceux terminés. Alors, pourquoi ne pas partager tout cela avec vous ?
Les challenges dont je vais parler sont le Feminibooks Challenge, le Bingo de l’Imaginaire, le Challenge de l’Imaginaire (septième et huitième édition), le Hold My SFFF Challenge, le Cold Winter Challenge et La Coupe des 4 maisons. Pour ce dernier, je n’ai pas encore fait de page sur mon blog et peut-être que je n’en ferai d’ailleurs pas, c’est à voir, mais je vais quand même vous parler de mon avancée.
En cliquant sur le nom de chacun des défis, vous pourrez accéder à sa page (quand celle-ci existe, évidemment).

 

Feminibooks Challenge

En validant les douze catégories mensuelles et en validant neuf des douze catégories bonus, je pense pouvoir dire que j’ai réussi assez haut la main ce challenge ! Il m’a permis de faire des découvertes et d’explorer de nouveaux univers, notamment avec l’essai Un féminisme décolonial de Françoise Vergès (conseillé par ma libraire) et la bande dessinée Les sentiments du Prince Charles de Liv Strömquist (conseillé par une amie).

 

Bingo de l’Imaginaire

J’ai réussi ce challenge avec 44 points. Je ne pensais pas valider autant de cases et donc avoir autant de points, du coup je suis super contente de ma participation !

 

Challenge de l’Imaginaire

La septième édition est terminée et j’ai réussi à lire 69/60 de livres de l’Imaginaire donc j’ai largement réussi ce challenge ! A la base, j’avais compté mes dix-huit tomes de Sailor Moon en un seul et je n’arrivais qu’à une petite cinquantaine de livres lus. C’était frustrant de voir qu’en les comptant ainsi j’étais si proche du but donc j’ai fait comme pour tous les autres livres : un tome lu vaut à un livre lu (normal, mais j’aime les défis). Le bilan final avec les chroniques de tous les participants et toutes les participantes arrivera mercredi !
Quant à la huitième et nouvelle édition, elle a débuté ce premier janvier. Il n’est pas trop tard pour vous inscrire ! Ma première lecture pour cette édition est le premier tome de Lore d’Aaron Mahnke – je vous en reparle très bientôt.

 

Hold My SFFF Challenge

Plus que cinq mois avant de terminer ce challenge ! Pour le moment, j’ai réussi à valider une lecture pour chaque thème mensuel et j’en suis très contente ! Mais bon, je ne vais pas vous mentir, je pense que c’est à partir de maintenant que les choses vont se corser… J’espère que La ferme des animaux d’Orwell rentre bien dans la catégorie « dystopies » ! Si vous le savez, n’hésitez pas à me le dire, cela m’aiderait beaucoup.

 

Cold Winter Challenge

Ce challenge se déroule sur deux mois et se terminera fin janvier. J’ai lu un livre pour le moment (Belle de Robin McKinley) sur les trois que j’ai prévu de lire, et j’aimerais en avoir un quatrième pour compléter toutes les catégories. Je doute d’y arriver mais si je peux lire le reste, ce sera déjà super chouette !

 

Coupe des 4 maisons

J’avais déjà participer à ce grand défi collaboratif lors des deux premières éditions (2016-2017 et 2017-2018). Il se base sur l’univers de Harry Potter et le but est de marquer un maximum de points pour sa maison. Cette année encore, je suis à Poufsouffle et, pour le premier trimestre, j’ai déjà marqué 1080 points (dont 30 points bonus pour avoir validé entre 21 et 30 items). Poufsouffle est troisième (sur quatre) pour le moment mais je compte bien mettre les bouchées doubles pour ma maison !

 

Voilà, ce petit point sur les défis littéraires est terminé ! J’espère que ça vous aura plu ; en tout cas, ça me permet d’y voir plus clair et ça c’est top.
Passez un excellent week-end

Ma vie sur la route

Ma vie sur la route

Quatrième de couverture :

Journaliste, militante, Gloria Steinem est une figure de lutte pour les droits des femmes et les droits civiques aux États-Unis. Elle a fondé le Women’s Media Center, une organisation pour rendre les femmes plus présentes dans les médias, et le magazine féministe Ms. , qui met en avant des personnalités comme Beyoncé, Chimamanda Ngozi Adichie, Lupita Nyong’o ou Amy Schumer.
Pendant toute sa vie, elle a voyagé à travers l’Amérique pour aller à la rencontre des autres – un goût du nomadisme qui s’enracine dans son enfance passée à sillonner le pays en compagnie d’un père fantasque, épris de liberté.
Ma vie sur la route est le récit autobiographique de plus de cinquante ans de combats, depuis la cause amérindienne à l’avortement en passant par le tourbillon de la campagne politique de Hillary Clinton ou encore les droits de la communauté gay.
Une ode à l’intranquilité qui nous pousse à partir à l’aventure, par celle qui écrivit :

« Ne demandez pas aux femmes de s’adapter au monde
– demandez au monde de s’adapter aux femmes. »

Les sentiments du Prince Charles

Les sentiments du Prince Charles

Quatrième de couverture :

Lors d’une conférence de presse après ses fiançailles avec Diana, le prince Charles dut répondre à la question : « Êtes-vous amoureux ? » Après une petite hésitation, il répondit : « Oui… Quel que soit le sens du mot “amour” ». Or, en lisant la presse people quelques années plus tard, on constata que de toute évidence Charles et Diana n’attribuaient pas du tout le même sens au mot « amour »… En feuilletant les mêmes magazines, on pouvait aussi se demander comment Whitney Houston avait pu tomber amoureuse d’un sale type comme Bobby Brown, et de remarquer au passage qu’en matière d’amour, le bonheur de l’un ne fait pas forcement celui de l’autre.
« Qu’est-ce donc que l’amour ? » Forte du constat que les déconvenues sentimentales sont loin d’être l’apanage exclusif de quelques chanteuses ou têtes couronnées, Liv Strömquist mène sa réflexion sur le pourquoi du comment de la relation amoureuse.
(…)
Essai en bande dessinée rigoureux et documenté, Les sentiments du Prince Charles est avant tout un plaidoyer passionné pour l’autodétermination et la libération des corps et des consciences. Par son humour décapant et salvateur, Liv Strömquist insuffle à son livre une exceptionnelle vitalité, tout en réussissant – par son trait à première vue naïf – à l’imprégner d’une fraîcheur singulière qui renforce son propos.

Comment ils font les gens ?

Comment ils font les gens ?

Quatrième de couverture :

Comment ils font les gens sérieux ? Pour avoir trois enfants à Paris, vivre sans téléphone portable, ressortir vivant d’une séance de yoga bikram ? Pour poser du vernis sans déborder, faire shabbat pour de vrai, voire même – sans rire – aimer Noël ???? C’est fou le nombre de mystères insondables qui agitent l’Univers. Afin de soulager les bénévoles de Wikipédia (ainsi que les pigistes de Science&Vie, qui ont déjà fort à faire), on te propose un petit tour d’horizon – ma foi fort divertissant et très savamment illustré – des réponses aux questions cruciales que tu te poses au quotidien.

Son vrai visage

Son vrai visage

Quatrième de couverture :

Mère. Héroïne. Menteuse. Tueuse ? 

Le métier de Laura consiste à soigner les troubles de la parole. Dans sa profession, elle est reconnue et admirée. Elle a pourtant plus de difficultés quand il s’agit de faire parler sa fille de trente ans, qui semble collectionner les échecs en tout genre.
Il aura suffi qu’elle l’invite au restaurant pour avoir une vraie discussion mère-fille,
Il aura suffi qu’un gamin armé entre en scène,
Il aura suffi d’un unique coup de couteau,
Pour que tout bascule.
Andy vient de voir sa mère tuer un homme. Sans une once d’hésitation. Efficace. Calme.
Andy vient de comprendre que sa mère n’est peut-être pas celle qu’elle prétend.
Et, maintenant que les masques tombent, la voix de ces deux femmes pourrait bien ne plus jamais se faire entendre.

Les illusions de Sav-Loar

Les illusions de Sav-Loar

Dans le même univers : L’héritage des Rois-Passeurs

Quatrième de couverture :

Dans le royaume d’Ombre, les femmes qui possèdent le don sont persécutées. Pour survivre et devenir magiciennes, il leur faut se réfugier dans la cité légendaire de Sav-Loar.
Or Bleue se trouve très loin de là lorsque apparaissent ses pouvoirs : elle n’est qu’une jeune esclave entre les griffes d’un seigneur sadique desquelles nul ne s’est jamais évadé. Mais certains de ses compagnons de captivité vont risquer leur vie pour tenter de sauver Bleue, à commencer par Fèl, une beauté farouche qui ne rêve que de liberté. Leur fuite éperdue va précipiter le royaume dans une guerre impitoyable au cours de laquelle Bleue, dont la puissance s’affirme de jour en jour, pourrait bien changer le monde…

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La pensée straight

La pensée straight

Quatrième de couverture :

En 1978, Monique Wittig clôt sa conférence sur « La Pensée straight » par ces mots : « Les lesbiennes ne sont pas des femmes. » L’onde de choc provoquée par cet énoncé n’en finit pas de se faire ressentir, aujourd’hui encore, dans la théorie féministe et au-delà. En analysant l’aspect fondateur de la « naturalité » supposée de l’hétérosexualité au sein de nos structures de pensées, que ce soit par exemple dans l’anthropologie structurale ou la psychanalyse, Monique Wittig met au jour le fait que l’hétérosexualité n’est ni naturelle, ni un donné : l’hétérosexualité est un régime politique. Il importe donc, pour instaurer la lutte des « classes », de dépasser les catégories « hommes »/« femmes », catégories normatives et aliénantes. Dans ces conditions, le fait d’être lesbienne, c’est-à-dire hors-la-loi de la structure hétérosexuelle, aussi bien sociale que conceptuelle, est comme une brèche, une fissure permettant enfin de penser ce qui est « toujours déjà là ».

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Les amies d’Héloïse

Les amies d’Héloïse

Quatrième de couverture :

En 1964, Claire et Héloïse achèvent leurs études secondaires. Leur amitié ne s’interrompt pas pour autant, et leurs lettres vont nous rendre témoins de leur vie.
À Vienne, Héloïse rencontre Erika, qui lui révèle l’amour homosexuel. Bientôt, d’autres femmes, jeunes ou moins jeunes, sages épouses ou amazones, apparaissent dans ce livre à plusieurs voix.
Si l’amour entre femmes, évoqué librement et simplement avec ses joies, ses drames, ses plaisirs, est le thème dominant de ces pages, c’est aussi le roman de l’amitié, des passions, de la liberté, de la vie comme elle va. Et du monde qui change, de la décolonisation aux lendemains de Mai 68.
Une chronique impertinente et brillante, pleine de personnages singulièrement attachants, couronnée en 1990 par le prix Goncourt du premier roman.