Le Cheval d’Orgueil

Le Cheval d’Orgueil – Mémoires d’un Breton du pays bigouden

Quatrième de couverture :

« Trop pauvre que je suis pour posséder un autre animal, du moins le Cheval d’Orgueil aura-t-il toujours une stalle dans mon écurie. » Ainsi parlait à l’auteur, son petit-fils, l’humble paysan Alain Le Foff qui n’avait d’autre écurie que sa tête et d’autre terre que celle qu’il emportait malgré lui aux semelles de ses sabots de bois. « Quand on est pauvre, mon fils, il faut avoir de l’honneur. Les riches n’en ont pas besoin. » […]
L’auteur […] n’enseigne pas, il raconte minutieusement, paysannement, comment on vivant dans une « paroisse » bretonnante de l’extrême ouest armoricain au cours du premier demi-siècle. Il ne veut rien prouver, sinon que la véritable histoire des paysans reste à faire et qu’il est un peu tard pour l’entreprendre.
Il affirme tranquillement que ceux qui jugent les paysans comme des êtres grossiers sont eux-mêmes des esprits sommaires et naïfs. Il ajoute que les hommes ou les régimes qui ont suscité des révoltes de paysans ont faire entrer ces derniers en jacquerie à force de mépriser leur culture.
Alors le Cheval d’Orgueil a secoué furieusement sa crinière !
L’auteur n’est pas convaincu, en passant d’une civilisation à l’autre, d’avoir humaine gagné au change. Mais aujourd’hui, la grande question qui se pose est de savoir s’il existe encore des paysans, c’est-à-dire des hommes qui, avant d’être de leur temps, sont d’abord de quelques part où ils doivent se mettre à l’heure du temps qu’il fait.

PAL du mois de mai 2022

PAL du mois de mai 2022

Salutations, les lecturovores !
Je vous retrouve aujourd’hui pour vous présenter ma pile à lire mensuelle, qui n’a pas été des plus simples à faire : si je m’écoutais, j’enchaînerais avec le tome 4 des Aventuriers de la mer, mais il se trouve que j’ai quelques livres que l’on m’a prêté et que j’aimerais rendre. Sans compter que j’aimerais vider un peu ma PAL globale (quelques centaines de livres papiers) avant d’acheter des livres, même si ce sont des suites. Evidemment, je suis plongée dans le dernier livre de Mona Chollet, Réinventer l’amour – Comment le patriarcat sabote les relations hétérosexuelles et je vais donc le terminer (il faut dire que, malgré mes réticences, il est intéressant). Après la lecture d’un essai, j’aime retourner à la fiction et autant vous dire que je n’ai que l’embarras du choix, entre le polar Miaou, bordel ! de Gérard Chevalier, Deux amantes au Caméléon de Francine Prose (qui est apparemment une biographie romancée de Violette Morris), Florida d’Olivier Bourdeaut (le récit d’une fille forcée à participer aux concours de mini-miss et qui, en grandissant, choisit de se venger – je ne sais pas comment, je vais le découvrir en lisant ce bouquin), ou encore Les enfants des sables mouvants, une roman jeunesse d’Efua Traoré qui sort courant mai. Mais ce n’est pas tout et je compte bien lire quelques BD, notamment La République du Crâne de Vincent Brugeas et Ronan Toulhoat (une histoire de pirates), le tome 2 de Magic Friends de Kristen Gudsnuk et le premier tome de Chat de Yakuza du mangaka Kamimura Riddle (ça a l’air tellement drôle!).
Comme toujours, il est bien probable que ma PAL se meuve en fonction de mes envies, de nouvelles sorties…

Dites-moi si vous connaissez certains de ces livres et, si vous en avez lu, les avez-vous aimé ?
Bon mois de mai à vous, et bonne lecture.

PAL du mois d’avril 2022

PAL du mois d’avril 2022

Bien le bonjour !
Mars se terminant, je vous propose de découvrir ma pile à lire pour avril. Si je n’ai pas terminé ce que j’avais prévu pour le mois passé, je ne remets toutefois pas ces lectures manquées dans ma PAL d’avril ; si j’en ai l’occasion, je les y ajouterai – je ne les oublie pas, je change simplement mes priorités.
Alors, que donnent ces prévisions d’avril ? Bon, déjà, il serait chouette que je termine Le cheval d’orgueil de Pierre-Jakez Helias. Pas mal de manga et de comics, à commencer par le troisième et dernier tome des Sorcières de la fin du monde de Kujira, mais aussi des découvertes en perspective avec les premiers tomes du Secret des écailles bleues de Yoko Komori (ça a l’air beau et doux), Bem de Mosae Nohara (qui semble être un thriller avec des monstres), Goblin Slayer de Kumo Kagyu et Kousuke Kurose (de la fantasy) ; je vais enfin découvrir Putain de chat de Lapuss’ ainsi que The Boy, the mole, the fox and the horse de Charlie Mackesy que l’on m’a prêté il y a un petit moment. Enfin, on termine le 9ème art avec le deuxième tome de Magic Friends de Kristen Gudsnuk, dont le tome 1 m’avait bien plu même si j’en garde peu de souvenirs.
Enfin, un roman feel good avec Jeune éditrice tourmentée cherche chat pour vivre mieux d’Isabelle Collin (il est temps, et je sais qu’il y en a parmi vous qui attendent mon retour!), un roman jeunesse au titre évocateur : Far West de Johan Heliot, et le recueil de poèmes Quatre poires (Peder berenn, en breton) d’Anjela Duval.

J’espère que ce programme vous plaît. Si vous avez déjà lu certains de ces livres, ou s’il y en a qui vous font envie, dites-le moi, je suis curieuse ! En attendant les retours à venir, demain, je publierai le bilan de mes lectures de mars, je vous prévoie une chronique pour samedi et, dimanche, place au rendez-vous hebdomadaire Premières lignes.
Bonne journée à vous, et bonne fin de mars, bon mois d’avril !

PAL du mois de mars 2022

PAL du mois de mars 2022

Salutations !
J’espère que vous allez bien et que mars s’annonce merveilleux pour vous.
Vous le devinez au titre, je vous partage aujourd’hui ma pile à lire mensuelle. Excepté Le cheval d’orgueil de Pierre-Jakez Helias que je n’ai pas encore terminé, les autres lectures que je prévois sont des livres uniquement écrits par des femmes car, comme les années précédentes, je participe à Mars au féminin organisé par Flo & Books. Il y aura de la littérature jeunesse avec La monstrueuse invasion de Crater Lake de Jennifer Killick, Sweet Sixteen d’Annelise Heurtier, Camille Claudel, journal d’une apprentie sculptrice, 1877 – 1879 écrit par Justine Duquesnoy et Les filles qui ne mouraient pas (young adult) de Kiran Millwood Hargrave. J’ai également prévu de lire deux essais : Réinventer l’amour de Mona Chollet et Le génie lesbien d’Alice Coffin. Je compte également me lancer, enfin, dans le thriller de Solène Bakowski Un sac et dans La petite Fadette de George Sand (une émission sur France Inter m’avait sacrément donné envie de le découvrir).
J’allais vous dire : « Voilà, c’et tout pour moi », mais c’est en fait un sacré programme de lecture, mine de rien !
Pour rappel, si vous voulez participer au Challenge de l’Imaginaire (10ème édition!), il vous reste tout ce mois de mars pour vous inscrire

Je vous souhaite de très bonnes lectures et un superbe mois de mars.

PAL du mois de février 2022

PAL du mois de février 2022

En préparant cet article, je me suis rendue compte que je ne vous avais pas partagé ma pile à lire de janvier ! Tant pis, ça arrive. Quoiqu’il en soit, elle était bien notée dans mon carnet et j’ai réussi à la respecter ; il n’y a que Le cheval d’orgueil et Dragons et mécaniques que je n’ai pas eu l’occasion de terminer. Il sont donc au programme et, même si je doute terminer le premier en février, j’espère toutefois bien avancer dans ces lectures. A côté de ça, d’autres lectures me font de l’œil, certaines depuis quelques temps déjà. Je vais terminer le manga Autour d’elles (tomes 5 et 6) de Shino Torino, découvrir Malou dit vrai de Gwen Guilyn ainsi que La monstrueuse invasion de Crater Lake de Jennifer Killick et La revanche des méchants de Fabien Clavel. Ces deux derniers romans sont des lectures jeunesse ; l’un semble parler de zombies tandis que l’autre à l’air de mettre en avant des personnages considérés comme vilains.
Et voilà, c’en est tout pour ma pile à lire de février. Elle bougera certainement un peu mais je compte bien y coller le plus possible.

Et vous, vous avez prévu de lire quoi ce mois-ci ?
Profitez bien de vos lectures et bon mois de février à vous !

PAL du mois de décembre 2021

PAL du mois de décembre 2021

Ça y est, le dernier mois de l’année arrive ! C’est la dernière ligne droite pour que je fasse baisser ma PAL mais, ce que je peux déjà dire, c’est que malgré tous mes efforts, elle n’aura pas réussi à baisser en 2021. Qu’importe, je me dis que je ferai mieux l’an prochain ! En attendant, voici ma pile à lire pour décembre…

Pour terminer cette année, je vais lire un livre en VO, à savoir The Guernsey Literary and Potato Peel Pie Society de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows (connu en français sous le titre du Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates). Comme je lis assez lentement quand c’est en anglais, j’ai opté pour des lectures courtes pour le reste du mois, notamment des manga : le tome 5 d’Autour d’elles de Shino Torino (et si j’ai l’occasion d’acheter le dernier tome, je le lirai également ce mois-ci), le tome 9 (déjà!) de L’atelier des sorciers de Kamome Shirahama et le huitième de Fullmetal Alchemist de Hiromu Arakawa. J’ai aussi prévu de très courts livres avec le Petit grimoire – Légendes des dragons de Patrick Jézéquel et illustré par Séverine Pineaux, et La Hyène, la Sorcière et le Garde-manger d’Aeph. Les deux sont de la fantasy mais dans des styles bien différents puisque l’un propose des légendes tout en étant une sorte de bestiaire sur les dragons, tandis que l’autre nous parle d’une princesse qui a l’air très rock’n’roll ! Quelques romans un peu plus denses viennent augmenter ma PAL mensuelle mais je pense les lire assez vite – tout du moins, j’ai bon espoir. Il s’agit de Malou dit vrai de Gwen Guilyn que je veux déjà lire depuis un moment, de même que Jeune éditrice tourmentée cherche chat pour vivre mieux d’Isabelle Collin. Ajoutons-y Notre-Dame des Loups d’Adrien Tomas dont les premières lignes m’ont beaucoup intriguée, et Les filles de la chance de Charlotte Nicole Davis (dont je ne sais absolu rien). Quatre poires d’Anjela Duval m’accompagnera tout au long du mois ; il s’agit d’un recueil de poèmes et j’aime les lire au compte-gouttes, un ou deux par-ci, trois ou quatre autres par-là. Enfin, j’aimerais terminer Le cheval d’orgueil de Pierre-Jakez Helias mais, comme je vous le disais hier, j’ai besoin de changer un peu d’air donc je fais une pause (je l’aime beaucoup mais j’avance très lentement, c’est un peu frustrant).

Qu’avez-vous prévu de lire pour terminer l’année 2021 ?

Premières lignes #295

Salutations !
Dans les Premières lignes du jour, je vous en propose dont les trois premières m’ont fait me dire que j’allais vite m’embrouiller, et dont les trois suivantes m’ont convaincue que j’allais aimer ce livre. Je le lis très lentement, il est dense et en à peine cinq jours, je n’ai lu qu’une centaine de pages (sur les 600 qu’il en fait). Qu’importe, il me plaît alors, en attendant mon retour, voici un avant-goût.

Le principe : chaque semaine, je prends un livre et je vous en cite les premières lignes du récit. Pensez à mettre le lien de votre RDV en commentaire de l’article ou, si vous avez une page ou une catégorie dédiée, n’hésitez pas à me le faire savoir ; cela facilitera l’actualisation.
N’oubliez pas de me citer, ça fait toujours plaisir ♡

Quand Pierre-Alain, mon père, épousa Marie-Jeanne Le Goff, il n’avait qu’une lieue à parcourir pour passer de la ferme de Kerveillant, en Plovézet, au bourg de Pouldreuzic où il allait vivre désormais avec sa femme. Il vint à pied, le torse bien droit, parce qu’il portait, sur la tête, une pile de vingt-quatre chemises de chanvre qui constituaient le plus clair de son avoir. En effet, ces chemises étaient à peu près tout ce que sa mère, Catherine Gouret, avait pu lui préparer pour son mariage. Le chanvre en avait été récolté, roui, broyé à Kerveillant et filé au rouet par Catherine elle-même. Comme d’habitude, ni plus ni moins. Avec le fil obtenu, on avait fait deux écheveaux qu’on avait portés au tisserand. Le premier, de chanvre pur, devait servir à faire des sacs de pommes de terre. Au second étaient mêlés des fils de laine pour adoucir le tissu. Celui-là fournirait les chemises de la maisonnée. Ensuite, les chemises et les sacs devaient se rencontrer immanquablement sur le dos des gens, les unes supportant les autres et généreusement rapiécées comme eux lorsque l’usure montrerait la peau de l’homme ou celle de la pomme de terre. Et les sacs vides, au surplus, repliés un coin dans l’autre, serviraient encore de capuchons et de dossards pour les temps de grosses pluies parce que les pauvres bougres de l’époque ne connaissaient pas d’autres survêtements. Quand mon père eut fait la guerre de Quatorze d’un bout à l’autre, l’armée lui laissa son dernier manteau d’artilleur dans lequel il se fit tailler son premier pardessus pour dix ans.
On avait pourtant des chemises de toile pour le dimanche. Une, quelquefois deux. Mais on ne se plaisait pas trop dedans. Elles ne tenaient pas au corps, elles glissaient dessus. Elles étaient trop minces, on avait l’impression d’être nu. Heureusement, il y avait le gilet à deux pans croisés, montant au ras du cou et descendant largement jusqu’aux reins, pour vous garantir en toutes saisons, les jours de fêtes. Mais rien ne valait les chemises de chanvre pour le travail quotidien. Elles buvaient votre sueur généreusement et sans vous refroidir. Elles étaient les cottes de mailles des misérables chevaliers de la terre. A être portées jour et nuit, elles n’apparaissaient guère plus grisâtres à la fin de la semaine qu’au début. Une bénédiction, je vous dis. Mais il fallait en avoir beaucoup parce qu’on ne faisait la lessive que deux fois par an, au printemps et à l’automne. Quand on en dépouillait une, toute raidie par la terre et l’eau de votre cuir, on la jetait sur le tas des autres, dans quelque coffre ou un coin d’appentis. Là, elle attendait la grande lessive d’avril ou septembre. Et tout recommençait.

Le cheval d’orgueil, Pierre-Jakez Helias, 1975.

Le cheval d’orgueil – Mémoires d’un Breton du pays bigoudin

Les blogueurs et blogueuses qui y participent aussi :

PAL du mois de novembre 2021

PAL du mois de novembre 2021

Salutations, les lecturovores !
Novembre a débuté et je vous propose aujourd’hui de découvrir ma pile à lire mensuelle. On commence avec les BD et les manga ; je compte lire les tomes 7 et 8 du Tigre des neiges d’Akiko Higashimura, que je n’ai pas eu le temps de découvrir en octobre, ainsi que Spinning de Tillie Walden, que j’ai récemment emprunté. Du côté des romans, j’ai déjà lu Fuki-no-tô d’Aki Shimazaki (que j’ai apprécié malgré sa fin quelque peu frustrante) et je suis actuellement en train de lire Fiancée sous contrat de Jae, qui est une lecture qui se fait dans le cadre du club de lecture de Planète diversité. Je poursuivrai avec d’autres lectures queer puisque j’ai le tome 2 de Tant qu’il le faudra de Cordélia qui m’attend également (une sacrée brique, si vous voulez mon avis), et je dois bientôt recevoir d’autres bouquins que j’ai précommandé. En attendant leur arrivée, j’ai de quoi patienter avec Le cheval d’orgueil de Pierre-Jakez Helias, le recueil de poèmes d’Anjela Duval Quatre poiresLes Langoliers de Stephen King (décidément, il est encore dans ma PAL…), Héla et les quatre royaumes de Marie-Line Brault, Malou dit vrai de Gwen Guilyn et Jeune éditrice tourmentée cherche chat pour vivre mieux d’Isabelle Collin.
Lequel de ces livres vous tente le plus ?

Passez un très bon mois de novembre, et profitez de doux moments de lecture.

PAL du mois d’octobre 2021

PAL du mois d’octobre 2021

Bien le bonjour à vous, les lecturovores !
Pour ce mois d’octobre, je prévois une grande pile de lecture. Toutefois, il y a pas mal de livres assez rapides à lire dedans, et comme je vous partage ma PAL ce 6 octobre, quelques livres ont déjà été lus, et je vais commencé par ceux-ci.
Octobre commence bien avec la découverte du premier tome de La Sorcière invincible, tueuse de Slimes depuis 300 ans ! de Kistesu Morita, Yusuke Shiba et Benio, et le roman jeunesse Mamie Fatou, la catcheuse de Kinshasa de Sébastien Gayet et illustré par Thomas Baas. J’ai également passé un bon moment avec Frères de foot, tome 1 : Unis pour la vie de MX18, Ludovic Danjou et Alession Zonno, et avec 30 minutes pour survivre : L’Odyssée de la peur de Bertrand et Neil Puard, un livre dont on est le héros. Je suis un peu plus mitigée concernant le tome 1 du Huitième fils de Hiroki Kusumoto, Y.A et Fuzichoco – je vous reparle très bientôt de ces lectures, comme je compte bien terminer le mois en étant le plus à jour possible sur mes chroniques !
Je suis toujours plongée dans Bienvenue à Perfect City de Helena Duggan, un roman jeunesse qui nous plonge dans une ville parfaite mais aussi étrangement inquiétante… Passons désormais aux lectures qui vont suivre.
A la bibliothèque, j’ai totalement craqué et j’ai emprunté les tomes 7 et 8 du Tigre des neiges d’Akiko Higashimura, un manga historique que j’aime beaucoup, Viendra le temps du feu de Wendy Delorme, Fuki-no-tô et Azami d’Aki Shimazaki et Le cheval d’orgueil de Pierre-Jakez Helias. Il y a également l’adaptation de Hamlet de Shakespeare en manga, qui commence à traîner depuis trop longtemps dans ma PAL. Et divers livres que je souhaite lire très prochainement, soit parce que c’est la saison, soit parce que je dois les lire pour le boulot. Il s’agit de Pistache & Soda de Paule Battault et Miss Paty, Les Langoliers de Stephen King (que je voulais lire en septembre), le tome 2 de Tant qu’il le faudra de Cordélia, L’équarrisseur de Nadine Matheson (un thriller, c’est parfait pour l’automne!), Revenants et diableries (un recueil pour se plonger dans l’ambiance de Halloween), le premier tome du manga Les sorcières de la fin du monde de Kujira, Héla et les quatre royaumes de Marie-Line Brault (de la fantasy, ça fait toujours du bien) et – enfin – Passing Strange d’Ellen Klages (que je vais lire pour un book club).

Du coup, avec tout ça, ma pile à lire mensuelle arrive à mes genoux ! Et mes jambes ne sont pas petites, croyez-moi…
Et vous, votre PAL d’octobre, elle en est où, par rapport à vous ?
Passez un très bon mois, et bonne lecture à vous !