Quatrième de couverture :
Catégorie : Récit / Tranche de vie
Récitatif
Quatrième de couverture :
Twila et Roberta ont huit ans lorsqu’elles se rencontrent au foyer St-Bonaventure. Quatre mois durant, les deux fillettes resteront inséparables, avant que la vie ne les éloigne. Au fil des années, elles se recroiseront au gré du hasard. Des retrouvailles souvent malaisées, jetant une lumière trouble sur un épisode de leur enfance, une scène en apparence anodine mais dont le souvenir ne les a jamais quittées – si tant est que ce souvenir soit fidèle à ce qui s’est réellement passé ce jour-là.
Paola
Les délices de Tokyo
Hamaguri // Wasurenagusa (Premier cycle : Le poids des secrets)
L’événement
Continuer
Quatrième de couverture :
Sibylle, à qui la jeunesse promettait un avenir brillant, a vu sa vie se défaire sous ses yeux. Comment en est-elle arrivée là ? Comment a-t-elle pu laisser passer sa vie sans elle ? Si elle pense avoir tout raté jusqu’à aujourd’hui, elle est décidée à empêcher son fils, Samuel, de sombrer sans rien tenter.
Elle a ce projet fou de partir plusieurs mois avec lui à cheval dans les montagnes du Kirghizistan, afin de sauver ce fils qu’elle perd chaque jour davantage, et pour retrouver, peut-être, le fil de sa propre histoire.
Tsubaki (Premier cycle : Le poids des secrets)
Quatrième de couverture :
À la mort de sa mère, survivante de la bombe atomique de Nagasaki, Namiko se voit remettre deux enveloppes. La première est adressée à un oncle maternel dont elle ignorait l’existence et qu’elle est chargée de retrouver. La seconde contient une lettre en forme de confession à sa fille, sans laquelle elle n’aurait pu partir en paix. Elle y raconte son quotidien pendant la guerre, son premier amour, et révèle le secret qui l’a poussée à commettre l’indicible.
Vingt-quatre heures de la vie d’une femme
Quatrième de couverture :
Scandale dans une pension de famille « comme il faut » sur la Côté d’Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d’un des clients, s’est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n’avait passé là qu’une journée… Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l’aide inattendue d’une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle. Ce récit d’une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l’auteur d’Amok et du Joueur d’échecs, est une de ses plus incontestable réussites.
Le Cheval d’Orgueil
Quatrième de couverture :
« Trop pauvre que je suis pour posséder un autre animal, du moins le Cheval d’Orgueil aura-t-il toujours une stalle dans mon écurie. » Ainsi parlait à l’auteur, son petit-fils, l’humble paysan Alain Le Foff qui n’avait d’autre écurie que sa tête et d’autre terre que celle qu’il emportait malgré lui aux semelles de ses sabots de bois. « Quand on est pauvre, mon fils, il faut avoir de l’honneur. Les riches n’en ont pas besoin. » […]
L’auteur […] n’enseigne pas, il raconte minutieusement, paysannement, comment on vivant dans une « paroisse » bretonnante de l’extrême ouest armoricain au cours du premier demi-siècle. Il ne veut rien prouver, sinon que la véritable histoire des paysans reste à faire et qu’il est un peu tard pour l’entreprendre.
Il affirme tranquillement que ceux qui jugent les paysans comme des êtres grossiers sont eux-mêmes des esprits sommaires et naïfs. Il ajoute que les hommes ou les régimes qui ont suscité des révoltes de paysans ont faire entrer ces derniers en jacquerie à force de mépriser leur culture.
Alors le Cheval d’Orgueil a secoué furieusement sa crinière !
L’auteur n’est pas convaincu, en passant d’une civilisation à l’autre, d’avoir humaine gagné au change. Mais aujourd’hui, la grande question qui se pose est de savoir s’il existe encore des paysans, c’est-à-dire des hommes qui, avant d’être de leur temps, sont d’abord de quelques part où ils doivent se mettre à l’heure du temps qu’il fait.